141655 Plants dont 36498 fruitiers sont produits en 2018 dans 22 Pépinières des 11 Communes Rurales du Projet.

Apprécier l’état de mise en œuvre des activités et les progrès et acquis des projets;
Recenser les difficultés rencontrées et formuler des recommandations pour l’atteinte des résultats escomptés, identifier les bonnes pratiques en vue de leur capitalisation, voilà les objectifs fondamentaux de la Mission mixte.

Quatre Préfectures et onze Sous-préfectures sont concernées par le projet à savoir: Kouroussa (banfèlè, Douako, Sanguiana et Cisséla), Faranah (passaya, et Beindou), Kissidougou (Albadaria, Gbamgbadou et Sangardo) et Mandiana (Kantoumania et Djalakoro) pour un coût global de 8.600.000 $. Au niveau des Sous-Préfectures visitées, des actions réalisées et en cours de réalisation ont été observées sur le terrain. A chaque étape c’est le même dispositif qui est mis en place en place ; il s’agit d’un périmètre maraîcher de 2 à 2,5 hectares pour l’agriculture, d’un forage, d’un château d’eau, des panneaux solaires, la confection et l’installation des ruches kényanes et la remise des outils agricoles. A ce jour il faut noter la réalisation de 462 ruches kényanes dont 262 dans la région de Kankan (soit 90 à Mandiana et 172 à Kouroussa) et 200 dans la région de Faranah (80 à Faranah et 120 à Kissidougou) par les artisans sur la base de contrats plans et mises à la disposition des groupements apicoles et des comités de gestion des forêts communautaires.
Le processus de mise en défend des 2405,54 hectares de berges et 231,41 hectares de méandres critiques en cours.
141655 plants dont 36498 fruitiers sont produits en 2018 dans 22 pépinières des 11 communes rurales du projet.

Sur les 141 655 plants fruitiers en 2018, 92 161 plants sont vendus soit 65% pour un montant total de 291.728.000 fg.

878,89 hectares (dont 474,6 hectares de berges de cours d’eaux dégradées et 404,29 hectares de méandres critiques très dégradés) du fleuve Niger et ses affluents sont restaurés dans les 11 communes rurales.

Le reboisement de 118,86 hectares (dont 82,86 hectares de berges et 36 hectares de méandres critiques) avec 1450 plants fruitiers et 19.446 forestiers, 12.662 souches de vétivers. A ces résultats il faut ajouter des insuffisances telles que :
la non clarification des droits fonciers en milieu rural, la faible capacité de la majorité des acteurs concernés dans la mise en œuvre des activités sur le terrain ;
L’inaccessibilité de certains districts surtout en période hivernale, fréquence des incendies de périmètres restaurés provoqués par les riverains peu soucieux des conséquences de leurs actes.

A noter également la visite des mini-stations de météo dans les Sous-préfectures de Gbamgbadou et Douako et des stations synoptiques automatiques dans les régions de Kissidougou, Faranah et Kankan, ainsi que du biodigesteur(une nouvelle source d’énergie issue du gaz méthane provenant de la bouse de vaches).

Ce projet qui a une durée de 7ans prendra fin en 2022 espérant réduire la vulnérabilité des communautés locales du bassin supérieur du fleuve Niger aux risques supplémentaires posés par le changement climatique. Renforcer la résilience de ses communautés à travers une approche axée sur les Écosystèmes liés aux bassins versants, les pratiques d’utilisation des terres et la capacité d’adaptation.

Cellule de Communication:#MEEF

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