La réunion de haut niveau a pu compter sur la présence d’invités de marque tels que le président de la République du Ghana, la reine des Pays-Bas, plusieurs représentants d’États membres et des dirigeants du secteur privé ; Ecolog (https://Ecolog-International.com) a été le principal représentant industriel à aborder le rôle des partenariats publics-privés dans le cadre du financement des Objectifs de développement durable (ODD) de l’ONU à l’horizon 2030.

Les États membres européens, africains et du Moyen-Orient sont ouverts aux activités commerciales et souhaitent que leurs communautés locales soient impliquées dans le processus de développement faisant partie intégrante de la réalisation des ODD de l’ONU à l’horizon 2030. Tel fut le message principal des gouvernements ayant participé à une réunion de haut niveau le 26 septembre au siège des Nations unies à New York, en marge de l’Assemblée générale de l’ONU. L’événement était organisé conjointement par les gouvernements canadien et ghanéen en collaboration avec le Bureau du financement du développement durable (division du DAES de l’ONU) ; le Groupe de travail du SGONU sur le financement numérique des ODD ; le Global Partnerships Forum et Ecolog. Le forum a également pu compter sur la présence d’autres participants dont Sa Majesté la reine Máxima des Pays-Bas et la vice-secrétaire générale des Nations unies, Son Excellence Madame Amina J. Mohammed.

Le président de la République du Ghana, Son Excellence Monsieur Nana Addo Dankwa Akufo-Addo, a souligné l’importance du développement dans la région et la contribution de celui-ci à des initiatives essentielles dans le domaine de l’éducation et des droits de la personne comme les ODD de l’ONU. Le président s’est fait l’écho des paroles prononcées plus tôt dans la journée lors de l’Assemblée générale, où il avait expliqué que les ODD constituaient un moyen holistique de développer la région. Le président Nana Akufo-Addo, ardent défenseur des ODD, a fait remarquer que la numérisation avait un rôle crucial à jouer dans le développement de l’Afrique.

Ecolog était l’unique représentant du secteur industriel et c’est son PDG, Ali Vezvaei, qui s’est chargé de l’allocution de bienvenue. Qualifiant l’ONU de moteur principal de paix et de sécurité, M. Vezvaei a expliqué que le fondateur d’Ecolog, Nazif Destani, également présent lors de la réunion, avait créé la société lors des opérations de maintien de la paix menées par les Nations unies en Europe du Sud-Est dans les années 90. M. Vezvaei a rappelé que la numérisation et le développement actuels n’avaient été rendus possibles que grâce à la paix. « Ecolog s’est mué en un fournisseur international de services de soutien intégrés et intelligents sur plus de 150 sites répartis dans 40 pays. » M. Vezvaei a ajouté que les solutions énergétiques, la logistique, la gestion urbaine intelligente et les services bancaires biométriques mobiles au moyen de plateformes de blockchain novatrices représentaient désormais une grande partie du portefeuille de services d’Ecolog. Il a en outre affirmé que la société avait déjà mis en œuvre des projets éducatifs en Iraq et en République centrafricaine, et qu’elle avait récemment remis son rapport « Communication on Progress » dans le cadre du Pacte mondial de l’ONU. Ecolog se destine à poursuivre la mise en œuvre de projets centrés sur l’éducation dans l’ensemble de l’Afrique.

L’événement s’est clôturé par des débats multiparties prenantes axés sur le rôle de leader des États membres et du secteur privé, auxquels ont notamment participé Son Excellence le Docteur Sahar Nasr, ministre des Investissements et de la Coopération internationale de la République arabe d’Égypte ainsi que des dirigeants d’entreprises du secteur privé des investissements telles que City Bank, Blackrock et le Global Impact Investment Network.

APO