En dehors de ses ressources minières et énergétiques qu’elle possède en abondance, attirant sans cesse des investisseurs étrangers, la République de Guinée regorge d’énormes potentiels agricoles. Chaque région naturelle, à savoir la Basse Guinée, la Haute Guinée, la Moyenne Guinée et la Guinée Forestière, a une culture agricole spécifique.  

Les terres sont riches et fertiles. On y trouve des produits tels que le gombo, le piment, l’aubergine, le taro, l’igname, le riz, le fonio, l’huile de palme, la banane, l’ananas, l’acajou, l’arachide, le poisson etc, sont entre autres produits cultivés dans chacune de ces régions.

Depuis l’indépendance, la Guinée a usé d’une politique de mise en valeur de ses ressources agricoles. Ce qui avait fait d’elle le grenier du Sud, c’est-à-dire le premier pays exportateur de banane et d’ananas vers les autres pays, tels que le Sénégal, la Gambie, le Mali etc.

Mais de nos jours, la grosse question qui revient sur les lèvres des sceptiques est de savoir quelle solution pour réveiller les plaines guinéennes riches et fertiles ?