A peine ouverte, la COP 29 de Bakou prête déjà le flanc à la critique. Après le choix de Dubaï l’an dernier, celui de l’Azerbaïdjan comme pays-hôte des négociations cette année, l’un des principaux producteurs d’hydrocarbures au monde, fait grincer des dents. Ces choix découragent certains Etats, comme la Papouasie-Nouvelle Guinée qui a décidé de boycotter l’événement.

Par ailleurs, les négociations autour du fonds climat ne s’annoncent pas plus simples alors que l’objectifs de 100 milliards de dollars par an que les pays du Nord doivent verser aux pays du Sud pour les aider à financer un développement vertueux se révèlent très insuffisants.