Modern residential buildings, Facade of new low-energy houses

Le 23 août, dix-neuf villes mondiales dont Paris, réunies au sein de l’association C40 Cities, se sont engagées à ce que tous les nouveaux bâtiments soient zéro carbone en 2030 et les bâtiments existants en 2050 pour atteindre les objectifs de l’Accord de Paris sur le climat de 2015. La capitale française s’engage aux côtés des villes de Copenhague (Danemark), Johannesburg et Tshwane (Afrique du Sud), Londres (Angleterre), Montréal, Toronto et Vancouver (Canada), Stockholm (Suède), Sydney (Australie) et Tokyo (Japon). Auxquelles s’ajoutent huit villes américaines mobilisées après le retrait de l’accord climatique par Donald Trump l’an dernier : Los Angeles, New York, Newburyport, Portland, San Francisco, San Jose, Santa Monica et Washington D.C.

Les bâtiments zéro carbone sont « des bâtiments écologiques et sains. Ils utilisent l’énergie de façon particulièrement efficace et sont alimentés à partir d’énergies renouvelables« , soulignent les villes dans leur déclaration commune. A Paris, Londres et Los Angeles, les bâtiments totalisent bien plus de 70% des émissions globales des villes. « Ce qui crée une gigantesque opportunité de progrès en matière de réduction des émissions« , indique C40 Cities. Cet engagement « comprend une promesse à collaborer avec les administrations des Etats et des régions, et avec le secteur privé, afin de mener à bien cette transformation, et appelle les gouvernements nationaux à agir de manière identique ». La mobilisation des villes s’inscrit dans le cadre de l’engagement pour des bâtiments à zéro émission nette de carbone en 2050 pour les entreprises, les villes, les Etats et les régions du World Green Building Council (WGBC).

Lu sur actu-environnement.com

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